Cameroun-Corée - Le courant passe




Le 2e forum sur l’énergie regroupant les deux pays s’est tenu vendredi dernier à Yaoundé. 
Le deuxième forum sur la coopération Corée-Cameroun s’est tenu vendredi dernier au Hilton hôtel de Yaoundé. 

Cette réunion, la deuxième du genre, a été ouverte par le ministre camerounais de l’Energie et de l’Eau, Basile Atangana Kouna, aux côtés de l’ambassadeur de Corée au Cameroun, son Excellence Cho June Hyuck. Selon les documents produits par les services de la communication de l’ambassade de Corée au Cameroun, cet atelier «vise à renforcer les liens commerciaux et la coopération entre les deux pays dans le secteur de l’énergie et tous les autres secteurs pertinents». Une «occasion donc pour la Corée de présenter son expertise dans le secteur de l’énergie et une opportunité pour de présenter ses projets énergétiques aux potentiels investisseurs coréens, à travers la rencontre B2B et la visite des sites industriels à Edéa et Douala». 

Prenaient part à ces travaux, une forte délégation de représentants des principales entreprises coréennes spécialisées dans les projets en mode Iac (Ingénierie, Approvisionnement et Construction), ainsi que ceux de plusieurs 

sociétés publiques et privées camerounaises impliquées dans le secteur de l’énergie. «Nous espérons que cet important rendez-vous sera un tremplin pour le gouvernement et le secteur privé, de pouvoir proposer des recommandations spécifiques sur la politique de gestion et la promotion des investissements dans les secteurs de l’énergie et de l’infrastructure», a indiqué l’ambassadeur de Corée. Avant de conclure : «Mon espoir est de voir la concrétisation de ces recommandations afin qu’elles contribuent à la construction du socle technique qui déclenchera l’industrialisation du Cameroun dans un avenir proche». 

Ce forum intervient après celui tenu à Douala en décembre 2011. Il avait également connu la participation des deux parties citées plus haut. Au moment où le Cameroun s’achemine vers l’émergence décrite dans le Document de stratégie pour la croissance et l’emploi (Dsce) à l’horizon 2035, la mise en œuvre de cet outil représente une tâche immense qui nécessite une solide base économique et sociale : la construction d’infrastructures énergétiques, des routes, des voies ferrées, des ports, etc. qui sont largement insuffisants dans le pays à l’heure actuelle
.(Camerounlink.net)

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