Mardi 21 mai, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a été transféré de l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris, vers celui des Invalides. Selon les informations de "Jeune Afrique", si le pronostic vital du chef de l'État n'est pas engagé, les séquelles liées à son AVC pourraient être sérieuses.
Hospitalisé depuis le 27 avril à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris
après avoir été victime d’un AVC, le président algérien Abdelaziz
Bouteflika, a été transféré mardi 21 mai dans un autre établissement
militaire de la capitale française, celui des Invalides. Il doit y
poursuivre sa convalescence.
L’information a été confirmée à Jeune Afrique par la
présidence algérienne et des sources françaises. Mais l’incertitude
plane toujours sur l'état de sa santé réel du chef de l'État. Si son
pronostic vital n’est pas engagé, il souffrirait de séquelles qui
pourraient être graves, selon nos informations.
"Repos strict"
« Après avoir subi des examens médicaux à l'hôpital du Val-de-Grâce à
Paris, le président de la République, dont le pronostic vital n'a
jamais été engagé et qui voit son état de santé s'améliorer de jour en
jour, est tenu, sur recommandation de ses médecins, d'observer un strict
repos en vue d'un total rétablissement, selon une déclaration du
Premier ministre Abdelmalek Sellal », citée par l'agence APS.
« La maladie du président Bouteflika ne sera bientôt plus qu'un
mauvais souvenir », affirmait encore M. Sellal dont c'était la première
déclaration depuis le 11 mai sur la santé du chef de l'État, qui avait
déjà été soigné en 2005 pour un ulcère hémorragique à l'estomac, à
l'hôpital du Val-de-Grâce.
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