Concernant les réformes économiques entreprises en Côte d'Ivoire par le président Alassane Ouattara, notamment dans la filière café-cacao, la Banque mondiale a donné son feu vert. Mais le FMI traîne des pieds, ce qui pourrait retarder l'atteinte du point PPTE.
Banque mondiale et FMI ne sont apparemment plus sur la même longueur d'onde concernant la Côte d'Ivoire. La première a, fin janvier, donné au président Ouattara son accord pour le lancement de la réforme de la filière cacao qu'il souhaite entreprendre : retour d'une structure unique de gestion, mise en place d'un système de vente à terme, etc. Le second réserve sa réponse et multiplie les demandes d'informations, ce qui pourrait retarder l'atteinte du point d'achèvement de l'Initiative en faveur des pays pauvres très endettés, prévue en juin, et donc le coup d'envoi d'un processus d'annulation de plus de 6 milliards de dollars de créances multilatérales et bilatérales.
Source : Jeuneafrique
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