GAIN convoque une assemblée panafricaine sur l'enrichissement des aliments


En dépit des progrès réalisés pour diminuer les carences en micronutriments en Afrique et pour généraliser les programmes nationaux d'enrichissement des aliments, il reste beaucoup à faire. 





Le niveau de vitamine A reste une préoccupation d'ordre public en Afrique de l'Ouest où plus de 40 % des enfants souffrent d'une carence en vitamine A (Comité permanent des NU sur la nutrition). 

En Éthiopie, la malnutrition se traduit par des carences en vitamines et en minéraux et entraîne une perte du PIB estimée à prés d'un demi-milliard de dollars par an, découlant d'une perte de main d'œuvre, de potentiel futur et de productivité (Concern Worldwide/Banque Mondiale). Comme le précise la Banque mondiale, l'enrichissement des aliments est « une technologie disponible aujourd'hui qui offre la possibilité d'améliorer la vie et d'accélérer le développement à un coût faible et dans des délais très courts. »

« La GAIN s'est engagée à communiquer les leçons importantes tirées de cet atelier sur l'enrichissement des aliments pour répliquer dans toute l'Afrique des modèles et des pratiques d'excellence durables, qui amélioreront l'existence de millions de personnes », selon Marc Van Ameringen, Directeur général de GAIN. « Nous sommes heureux d'aider cette région et l'Éthiopie à renforcer leur capacité à produire et à améliorer l'accès à des aliments plus nutritifs et abordables », a ajouté M. Van Ameringen.
Afrik.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Chers intervenants,

Vous qui réagissez sur ce site , êtes priés de respecter certaines règles ; pas de propos à caractères : racistes, tribaux, antisémites ,xénophobes et homophobes, provocant à l’encontre des autres

Le non-respect de ces règles conduira à des sanctions ; l’effacement des messages sans avertissement et exclusion définitive du site.