Révélée à l’opinion pour des affaires itératives de moeurs, l’hôtesse de la Camair-Co a entrepris de toiletter son image, avec la distinction que vient de lui décerner l’Ambassadeur de Turquie au Cameroun.
Reprise aussitôt dans les réseaux sociaux, ladite
distinction qui lui a été servie en sa qualité de partenaire socioéconomique de
ce pays le week-end dernier. Le plénipotentiaire turc à Yaoundé, se sera alors
fondé sur sa présence continue en Turquie où elle y est active dans le secteur
du textile et de l’habillement. Suffisant pour susciter la curiosité de bon
nombre de Camerounais qui s’étonnent sur les critères choisis pour ce faire,
tant il est vrai que le plénipotentiaire turc ne saurait ignorer le passé
plutôt sulfureux de l’heureuse élue. Qu’importe aura-t-il certainement dit,
quitte à offrir dans la foulée quelque tremplin à cette dernière, pour
continuer à tourner autour de Samuel Eto’o à qui elle serait décidée à nuire.
Ce d’autant plus qu’il est constant que la coïncidence toute
aussi curieuse que ladite distinction arrive juste après la signature du
Pichichi dans un club turc. Bien évidemment, on pourrait le concéder au
plénipotentiaire turc qui ne peut présager du dessein que voudra très certainement
attacher Nathalie Koah à sa nouvelle «honorabilité», ce d’autant plus qu’en la
matière elle ne saurait se prévaloir d’un volume d’affaires plus important que
bon nombre d’opérateurs nationaux ayant fait de la Turquie, leur principal
pourvoyeur. Sauf à croire que ce pays, entendant développer au mieux ses
relations commerciales avec le nôtre, s’en tienne ainsi à promouvoir la
médiocrité, au sens noble du terme.
Prédatrice
Connaissant fort à propos la forte cupidité de cette
dernière, nul doute qu’elle saura valoriser ce titre honorifique non plus en
offrant ses faveurs à une pléiade de personnalités, mais en jouant certainement
les entregents pour placer «quelques purs produits made in Cameroun». Et c’est
à ce niveau que le bât blesse, tant il est de notoriété qu’on a beau chasser le
naturel, il finit toujours par revenir au galop, surtout quand on se sait
détenteur de quelque privilège. Ce qui est notamment le cas désormais pour
Nathalie Koah, même si par ailleurs son statut d’hôtesse de l’air n’en est pas
moins un atout supplémentaire.
C’est le cas
effectivement de le penser si l’on s’en tient au ramdam médiatique qui a
aussitôt entouré ladite distinction. Certes elle eut recours aux réseaux
sociaux, mais ce choix est loin d’avoir été anodin, tant il est vrai qu’elle
savait atteindre un plus grand auditoire. Toutes choses qui devront à la fois
l’aider à toiletter une image quelque peu écornée par ses affaires de moeurs, mais
aussi et surtout lui assurer une meilleure couverture pour développer au mieux
une filière turque. Sinon, quel intérêt auraitelle à se positionner désormais
comme une «femme d’affaires» ayant pignon sur rue en Turquie, même si le
secteur des textiles et de l’habillement y est développé ? Et Sauf à croire
qu’elle voudrait plutôt préparer sa sortie imminente de son statut officiel,
celui d’hôtesse de l’air, pour se nicher dans le vêtement moins visible certes,
mais mieux à même de détourner au mieux l’attention sur elle.
Si cela était, alors on peut supposer qu’elle sait ne plus
briller de mille feux et pourrait bientôt être disqualifiée pour continuer à
assumer les fonctions d’hôtesses de
l’air, non plus pour ses seuls attributs physiques mais davantage pour la forte
dégradation de ses valeurs morales. Dès lors, sa distinction pourrait être
assimilée comme une compensation des «bons et loyaux services» qu’elle aurait
rendus aux dignitaires de ce pays en séjour chez nous. Et comme l’Ambassadeur
de ce pays pourrait être considéré pour le cas d’espèce comme l’intermédiaire
attitré, on comprend qu’il ait ainsi tenu à matérialiser la reconnaissance de
son pays à Nathalie Koah.
Bien évidemment, nous sommes là en pleines supputations que
nous imposent inéluctablement le flou entourant cette distinction. Et même si
en matière diplomatique nous n’avons rien à apprendre au plénipotentiaire turc,
il ne fait néanmoins l’ombre d’aucun doute qu’il a quelque part, « partie liée
» avec Nathalie Koah, quitte à lui d’en révéler la portée réelle. Car, au-delà
de la cupidité caractérielle de cette dernière, sa quête de reconnaissance et
de puissance lui fait ne reculer devant aucun obstacle si obstacle il y a.
Serait-ce le même mode opératoire qui lui permit d’accrocher l’ambassadeur de
Turquie au Cameroun ? Personne en saurait rien dire à propos, si ce ne sont ce
dernier et Nathalie Koah. Du coup, il devient plus aisé de penser qu’en
rebondissant à travers la Turquie, cette dernière aura réussi un coup-double :
confondre certains de ses détracteurs et disposer d’un sauf-conduit probant
contre son irréductible adversaire : Samuel Eto’o.(@Camer.be)
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