La distribution des droits d’auteur a commencé lundi au siège de la structure à Yaoundé.
Attentif devant les listes, aucun artiste ne veut rater son nom et son pseudo. Avoir son nom au babillard plaqué en face du siège de la Société civile des droits d’auteur et des droits voisins (Socam), est le sésame pour passer à la caisse sans autre forme de procès.
Lorsqu’il l’obtient, il peut désormais se rendre à la banque et rentrer en possession de ses droits d’auteur. Pour la première vague débarquée lundi après-midi, la répartition s’est déroulée dans la sérénité pour les élus. Bien que la plupart des musiciens rencontrés à la Socam avaient du mal à se montrer satisfaits. On trouvait toujours à redire sur le montant. D’autres ne se retrouvaient pas parmi les 800 noms compris sur les précieuses listes. Mais les organisateurs les rassurent tout de suite. Une salle de requête est ouverte pour tous les artistes non mentionnés. Une requête recevable si seulement le concerné est affilié à la Socam, et si ses œuvres ont été exploitées dans la période de juillet à décembre 2011
Source : Cameroun tribune
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