Commençons par la fin, le 10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord au sujet de la cause virale du sida .Plusieurs centaines de scientifiques, et non les moindres, ont préféré prendre des risques sur des carrières qui s’annonçaient souvent très prometteuses plutôt que d’accepter les nombreux mensonges et incohérences distillés par les instances officielles.
Présentation de cet article
« Les 10 plus gros mensonges sur le sida » Livre écrit par
le Dr Étienne De Harven et le journaliste scientifique et technique Jean-Claude
Roussez. Publié en 2005 aux éditions Dangles, en France Article de Dany Quirion
pour Alter Info Il est important ici de souligner que cet article est
uniquement composé d’extraits intégraux tirés du livre. Plusieurs autres
informations cruciales ne sont pas abordées ici et elles demeurent à découvrir
dans le livre.
Reprenons depuis le début. 1er mensonge : Le sida est une
nouvelle maladie.
Aussi bien le grand public que la majorité des
professionnels de la santé sont persuadés que le sida est un phénomène
épidémique apparu soudainement au début des année 80, causé par l’émergence
d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida, n’est pas
à proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et
de symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par
une forte diminution, voire un effondrement, des défenses immunitaires. Depuis
longtemps les deux principales causes d’immunodéficience acquise étaient
parfaitement connues et documentées : - la malnutrition; - l’usage de
substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains
médicaments, sang transfusé).
2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH
Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de
consulter la littérature scientifique relative au virus proprement dit, on est
frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a jamais réussi à mettre
directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en
particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade du sida. […]
C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la
première annoncée la découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de
prélèvements effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de
Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par la
suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte » un
échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offerte quelques mois
auparavant. Il arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste
britannique du sida, qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du
virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un échantillon de la
culture de Luc Montagnier. On peut ainsi constater que, de part et d’autre de
l’Atlantique, les trois équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à
annoncer qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues
d’un même patient! Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas
un seul article dans lequel on pourrait trouver la conclusion selon laquelle un
tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus est la cause du sida.
3e mensonge : Le VIH est la cause du sida
Revenons au début des années 80. Les premiers cas de sida
ont été détectés aux États-Unis au sein de la communauté homosexuelle et chez
les toxicomanes par voie intraveineuse. Il est nécessaire de préciser que ce
n’est pas le fait d’être homosexuel qui constitue un facteur de risque
vis-à-vis du sida. Seul le style de vie de certains homosexuels masculins est
de nature à provoquer une immunodéficience. […] Différentes drogues circulaient
abondamment (cannabis, cocaïne, amphétamines, LSD, barbituriques, héroïne…),
mais les vedettes incontestées étaient les « poppers », petites fioles
contenant du nitrite d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant des vertus
apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était un médicament utilisé
comme dilatateur coronarien dans le traitement des crises d’angine de poitrine.
La communauté homosexuelle détourna les nitrites de leur usage thérapeutique
pour en faire leur stupéfiant le plus prisé, et cela dès les années 60. […] Dès
qu’ils sont dans le sang, les nitrites se transforment en oxyde nitrique et
endommagent les parois internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique leur
implication dans un cancer des capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien
qu’interdits, les poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à être disponible,
que ce soit en empruntant des noms innocents comme « nettoyant pour cuir », ou
bien en plein jour, par exemple dans les sex-shops. Le phénomène s’est même
aggravé par la suite puisqu’ils ont été adoptés par certains hétérosexuels en
quête de performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers était associé
à la majorité des cas de sida chez les homosexuels, aux États-Unis, certains
médias appuyés par les organismes de santé publique diffusèrent dès 1983 auprès
de la communauté gay des informations disculpant totalement les nitrites. Cette
attitude peut être qualifié de criminelle. Il a fallu attendre 1994 pour que
Robert Gallo, « co-découvreur » du « VIH » et (riche) promoteur du premier test
de dépistage, admette lors d’une conférence du NIDA (National institute on drug
abuse) que le sarcome de Kaposi, maladie typique de la communauté homosexuelle,
ne pouvait être causé par un virus mais que les poppers devaient en être la
principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien changé à l’attitude
officielle. [Ce chapitre contient d’autres informations sur les toxicomanes,
les hémophiles, les mal-nourris, etc.]
4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques
En 1987, apparut le premier médicament antiviral
prétendument spécifique au sida : l’AZT. L’azidothymidine, ou AZT, fut
découverte dès 1964 et proposée en vue d’une utilisation dans les thérapies
anticancéreuses. Ses effets dévastateurs (et systématiquement mortels chez les
souris de laboratoire!) ont suscité un rejet catégorique de la part des
autorités chargées de l’accréditation des nouveaux médicaments anticancéreux.
Autres temps autres mœurs : le besoin de fournir aux malades du sida une
thérapie […] on accorda de toute urgence l’autorisation surprenante de mettre
sur le marché l’AZT, malgré sa très haute toxicité. - Les autres antiviraux :
Chacun possède son propre système d’effet génétique mais le principe est tours
le même.
5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par
le VIH
Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui
sont dénoncés dans cet ouvrage, car il a permis de faire croire à des millions
de personnes qu’elles étaient malades et contagieuses. […] Le test de type «
Western Blot » est utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a
été détectée par un ou deux tests de type « Elisa ». C’est donc un test
considéré comme plus fiable. Un test Western Blot comprend dix bandes alignées
correspondant aux dix protéines que l’on a définies comme étant typiquement et
exclusivement relatives au « VIH ». L’harmonisation internationale des
diagnostics étant inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains
pays lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans certaines contrées, il en
faut trois. Dans d’autres, quatre bandes sont nécessaires. On voit donc que
selon le pays où l’on réside, le même sérum, analysé dans des conditions
identiques, peut fabriquer un séropositif ou un séronégatif, au gré de la
législation en vigueur. Mais il y a plus intéressant encore. Puisque les dix
protéines utilisées dans les tests sont annoncées comme typiques du « VIH », on
peut se poser les deux questions suivantes, totalement à l’opposé l’une de
l’autre : - Pourquoi deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors qu’une
seule devrait être suffisante pour diagnostiquer la présence du virus? -
Pourquoi seulement deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors que la
présence du virus devrait impliquer obligatoirement la présence des dix
protéines qui lui sont attribuées, donc la réaction de toutes les dix bandes du
test? […] Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu confiance
qu’aux États-Unis, la FDA (Food and drug administration) n’a apportée sa
caution à aucun d’entre eux. […] Il est important de rappeler que, faute de
standard internationale, on peut être classé séropositif ou séronégatif selon
le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de test que compte le Western Blot,
il suffit d’en avoir deux qui soient jugées « positives » pour être déclaré
infecté en Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en
Australie. Il y a plus grave. Les tests sont si peu spécifiques que les
fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou
infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent également qu’il y a de
nombreuses sources possibles de faux-positifs, en tout une soixantaine. […] -
La charge virale Le concept de « charge virale » a été introduit aux USA par le
docteur David Ho, par ailleurs promoteur des multithérapies, espérant ainsi
fournir une explication au fait que personne ne trouvait de « VIH » directement
chez aucun patient. Le médiatique personnage (élu « homme de l’année 1996 » par
Time Magasine) proposa alors que le virus savait se rendre indétectable mais
qu’on pouvait néanmoins le mettre en évidence grâce à la technique PCR
(polymerase chain reaction), qui est un procédé de multiplication de l’ADN. En
1997, David Ho et ses collaborateurs traitèrent un groupe de vingt patients
avec une bithérapie associant AZT et inhibiteur de protéase. Dès le début du
traitement, la fameuse « charge virale » de ces patients était tombée à un
niveau indétectable et y est restée. Ce résultat fut présenté comme l’évidence
que la bithérapie prescrite était efficace. Selon les scientifiques orthodoxes
eux-mêmes, au moins 99,8% des particules mesurées par le test de charge virale
ne sont pas infectieuses! D’où viennent-elles? De « VIH » mal assemblés, bons
pour le rebut? Le problème, c’est que ces virus boiteux, tout comme ceux qui
sont présents comme virulents, n’ont jamais été vus au microscope électronique.
Pourtant, avec la quantité importante de particules que l’on prétend trouver,
il n’y aurait rien de plus facile. […] Mieux encore : l’inventeur de la
technique PCR [PCR le test de la charge virale], Karry Mullis (qui a obtenu le
prix Nobel de chimie en 1993 pour cette invention) tient pour frauduleuse
l’utilisation de son procédé dans la recherche de la « charge virale ». Ce
scientifique authentique et incontestable se heurte pourtant à un mur. On
étouffe ses propos contestataires, bien que sa démonstration soit brillante et
documentée. Trop d’intérêts et de carrières sont en jeu.
6e mensonge : Le sida est contagieux
Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie,
herpès génital ou anal …), dès qu’elles ont été sexuellement transmises,
provoquent une infection dont les symptômes sont évidents au bout de quelques
jours, et cela sans faire de distinction entre les individus. - Le sida des
homosexuels Les cinq premiers cas de sida furent observés et décrits à Los
Angeles, en 1981. L’auteur du premier rapport sur ces cinq cas initiaux,
Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq patients étaient
homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite d’amyle (poppers). En outre, il
indiquait que ces cinq malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient
donc pas pu se contaminer l’un l’autre. Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à
Michael Gottlieb qu’il venait de découvrir une nouvelle maladie infectieuse?
Rien ne permet de répondre à cette question, et le mystère reste entier. Une
parabole aidera à mieux saisir l’importance de la question : imaginons qu’un
médecin ait pour mission de surveiller la santé d’une centaine d’ouvriers
travaillant tous dans une usine de colorants. C’est une vieille usine, mal
ventilée, et où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après quelques
années, le médecin identifie une dizaine de cas de saturnisme parmi ces
ouvriers. Va-t-il en conclure que le saturnisme est une maladie contagieuse
parce que les malades travaillaient tous dans la même usine? Ou va-t-il
conclure que ses patients ont tous été exposés au même risque toxique et ont
par conséquent tous développé la même maladie? La réponse est trop évidente…
Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la même façon,
et n’ait pas immédiatement compris que ses cinq patients avaient tous été
exposés aux mêmes drogues toxiques, et par conséquent avaient tous développé la
même pathologie?
7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses maladies
Le virus de la rougeole n’est présent que chez les
rougeoleux, celui de la grippe chez les grippés, etc. Avec le « VIH », une
nouvelle ère a commencé : celle des virus polyvalents, polymorphes et
tout-puissants, capables de causer non seulement une importante variété de
maladies infectieuses (dues à l’immunodéficience), mais aussi des pathologies
n’ayant rien à voir avec le système immunitaire. En tout, c’est une trentaine
de maladies qu’est supposé provoquer ce tueur invisible, plus proche monstrueux
et pitoyables aliens des films de science-fiction que d’un micro-organisme.
Comment les biologistes et les professionnels de la santé ont-ils pu avaler
cette couleuvre qui remettait en cause tout ce qu’ils avaient appris jusque-là?
Il faut croire que leur faculté de raisonnement a été anesthésiée par les beaux
discours venant des mandarins et des laboratoires pharmaceutiques. Car il faut
le souligner, dès que l’on fait partie de l’élite scientifique, on peut se
permettre d’émettre l’hypothèse la plus délirante en étant certain d’être suivi
par l’ensemble d’une opinion publique informée par des médias en recherche
permanente de surenchère et de sensationnel. Apporter la moindre preuve est
inutile : seule compte la notoriété. [Docteurs : Dépêchez-vous à mettre votre
nez dans ce livre, principalement ce chapitre.]
8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est séropositif
Le stress aigu a parfois des conséquences salutaires, car il
permet de réagir efficacement en face d’un danger immédiat (fuir ou combattre).
En revanche, le stress permanent est une source de déséquilibre entraînant une
cascade d’événements préjudiciables. Les perturbations psychologiques
provoquées par l’annonce d’une séropositivité et les réactions émotionnelles
qui en découlent induisent des réactions physiologiques dommageables pour la
santé, en affaiblissant les réactions naturelles de défense de l’organisme.
C’est ainsi que la boucle de régulation hormonale mettant en jeu les glandes
surrénales et certaines glandes endocrines du cerveau (hypophyse, hypothalamus,
épiphyse) se trouve fortement perturbuée en cas de stresse intense, l’une des
conséquences étant une surproduction de certains messagers chimiques
(neuromédiateurs), comme le cortisol qui est une hormone immunosuppressive. Le
stresse affaiblit donc l’activité du système immunitaire, mais provoque aussi
de nombreuses autres perturbations, […]
9e mensonge : L’épidémie du sida est dévastatrice
Les organismes de santé publique s’accordent à donner des
informations apocalyptiques sur la progression du sida dans le monde. Elles
sont relayées avec beaucoup de complaisance (et sans vérification) par l’ensemble
des médias et par les organisations dont le sida est la raison d’exister. Cette
montée de la terreur s’est faite par étapes successives : 1. Attribuer à un
virus l’immunodéficience acquise a été le premier pas. Un pas décisif qui a
permis d’imposer l’idée que le sida était une maladie infectieuse, donc
transmissible. 2. Mettre au point des tests de séropositivité a servi ensuite à
prétendre pouvoir détecter une infection au sein de population en bonne santé
(et inventer en même temps le sida hétérosexuel). 3. Dans un troisième temps,
le nombre des maladies censées être causées par le « VIH » a progressé par
paliers, passant de trois à trente en quelques années. 4. En plus, la
définition même du sida a été profondément modifiée à quatre reprises (1982,
1987, 1992 et 1998) par les CDC (Centers for disease control and prevention) et
l’OMS (Organisation mondiale de la santé), chaque nouvelle définition
entraînant une escalade catastrophique de l’apparente épidémie. 5. Enfin, les
statistiques basées sur des extrapolations acrobatiques ont permis d’augmenter
chaque année les chiffres de la contamination, surtout dans les pays où les
contrôles sont les plus difficiles à opérer. Quelle est la situation actuelle,
lorsque l’on s’en teint aux faits? Dans les deux régions du monde où le sida a
fait ses premières apparitions, les États-Unis et l’Europe de l’Ouest, la
prétendue épidémie a fait long feu. En Océanie, elle n’a même jamais débuté. En
revanche, les statistiques officielles annoncent une flambée des infections
dans plusieurs zones qui avaient été longtemps épargnées. [Chacune de ces
régions sera analysée par la suite dans le chapitre, de même que les
statistiques.]
10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord
[Nous l’avons partiellement vu au début de
l’article, mais voici quelques noms de dissidents à cette adresse :]
http://www.virusmyth.net/aids/group.htm Seul site français entourant la
controverse du sida : www.sidasanté.com Et un dernier article intéressant:
http://www.planetenonviolence.org/VIH-et-Sida-Voix-dissidentes,-dissensions-volontairement-ignorees-BIZZ-comme-d-Hab_a342.hml(http://www.alterinfo.net/)
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