Il en appelle à la prise de conscience des Camerounais lors des prochaines consultations électorales. La traîtrise de certains conseillers municipaux Sdf qui avaient voté la liste Rdpc aux sénatoriales du 14 avril dernier est restée en travers de la gorge de John Fru Ndi.
Le leader du Social democratic
front (Sdf) est sorti de sa réserve dimanche dernier 26 mai, à
l’occasion de la célébration du vingt troisième anniversaire du parti de
la balance. « J’avais dit aux Camerounais qu’on va vous appauvrir de
telle sorte que lorsqu’on va vous brandir un billet de 500f cfa, vous
bondirez dessus comme des chiens affamés auxquels on présente de la
nourriture » s’est lâché le chairman au stade municipal de Bamenda. Et
d’ajouter « les conseillers municipaux qui ont vendu leur conscience
sont en train de fuir dans tous les sens, alors que personne n’est à
leurs trousses. Ils resteront pauvres ». Sans détour, il a relevé pour
le décrier la croissance de la paupérisation de la population orchestrée
selon lui par le régime en place. Il a appelé les Camerounais à en
tirer les conséquences et de « voter selon leur conscience lors du
prochain double scrutin ». Pour le leader du Sdf, seule la conscience
garantira l’avenir de la jeunesse et du Cameroun.
Le député Evaristus Njong, par ailleurs président régional du Sdf Nord-Ouest est d’avis que les militants du parti du 26 mai 1990 sont blessés par les résultats des sénatoriales et brûlent d’envie de prendre leur revanche au scrutin couplé. Balick Awah Fidelis, maire de Bamenda II pour sa part est convaincu que la fraude aux sénatoriales de 2013 était préparée depuis les municipales de 2007. « On verra si le Rdpc gagnera même un seul siège cette fois-ci dans la région » se gargarise le maire de Bamenda II. Prenant au dépourvu le régional Sdf et le maire, Fru Ndi dira « j’attends les résultats. Le chien qui mord n’aboie pas ». Et de poursuivre « militants du Sdf, mordez, n’aboyez pas » comme pour signifier que « l’heure est à l’action » et non dans les menaces, beaux discours et applaudissements à tout rompre. Nchinda, député Sdf de la Mezam centre se réjouit du fait qu’aucun conseiller municipal des trois communes de Bamenda, n’est listé parmi ces « traitres » des sénatoriales.
Cambriolage chez Fru Ndi
Pour John Fru Ndi, il y a toutes les raisons pour célébrer cet anniversaire «le message est celui de l’appel à la conscience, le message de la maturité, de remerciement pour tout le soutien reçu du peuple et je lui demande de rester ferme. On aura perdu quelques batailles mais la guerre se poursuit. Je les congratule pour la lutte pour la démocratie, la lutte pour le changement judicieux dans notre pays, la lutte pour l’amélioration du processus électoral à travers la marche avec les urnes transparentes, l’ordinateur et même aujourd’hui nous nous battons pour que Elecam mette sur pied le bulletin unique »
L’honorable Simon Fobi Nchinda a présenté la nouvelle loi (de mars 2013)sur la création des entreprises avant de conseiller au public d’en tirer tous les bénéfices et autres exonérations.
Sur un autre plan, le leader du Sdf n’est pas passé par quatre chemins pour accuser les responsables de certaines formations sanitaires de la ville de Bamenda d’établir de faux résultats sérologiques contre quelques billets de banques. Lesquels résultats indiquent la séronégativité de certains sidéens. Ceux-ci, poursuit John Fru Ndi, brandissent ces résultats à tout bout de champ, pourtant ils sont infectés. Cet état de chose, à en croire le leader du parti de la Balance, a contribué au taux élevé de la prévalence dans la cité capitale du Nord-Ouest. « Bamenda a le plus fort taux de prévalence du vih/sida au Cameroun. Je vous invite à faire preuve de prudence dans vos relations sexuelles » conseille John Fru Ndi.
Le leader du Sdf qui est arrivé à Bamenda aux premières heures de la matinée de dimanche 26 mai, en provenance de l’Allemagne, a laissé entendre que des hommes sans foi ni loi ont rendu une visite peu commode à sa résidence de Yaoundé. Ces cambrioleurs ont mis tout sens dessus-dessous, emportant avec eux des objets de valeur et aussi de la boisson.(Camerounlink)
Le député Evaristus Njong, par ailleurs président régional du Sdf Nord-Ouest est d’avis que les militants du parti du 26 mai 1990 sont blessés par les résultats des sénatoriales et brûlent d’envie de prendre leur revanche au scrutin couplé. Balick Awah Fidelis, maire de Bamenda II pour sa part est convaincu que la fraude aux sénatoriales de 2013 était préparée depuis les municipales de 2007. « On verra si le Rdpc gagnera même un seul siège cette fois-ci dans la région » se gargarise le maire de Bamenda II. Prenant au dépourvu le régional Sdf et le maire, Fru Ndi dira « j’attends les résultats. Le chien qui mord n’aboie pas ». Et de poursuivre « militants du Sdf, mordez, n’aboyez pas » comme pour signifier que « l’heure est à l’action » et non dans les menaces, beaux discours et applaudissements à tout rompre. Nchinda, député Sdf de la Mezam centre se réjouit du fait qu’aucun conseiller municipal des trois communes de Bamenda, n’est listé parmi ces « traitres » des sénatoriales.
Cambriolage chez Fru Ndi
Pour John Fru Ndi, il y a toutes les raisons pour célébrer cet anniversaire «le message est celui de l’appel à la conscience, le message de la maturité, de remerciement pour tout le soutien reçu du peuple et je lui demande de rester ferme. On aura perdu quelques batailles mais la guerre se poursuit. Je les congratule pour la lutte pour la démocratie, la lutte pour le changement judicieux dans notre pays, la lutte pour l’amélioration du processus électoral à travers la marche avec les urnes transparentes, l’ordinateur et même aujourd’hui nous nous battons pour que Elecam mette sur pied le bulletin unique »
L’honorable Simon Fobi Nchinda a présenté la nouvelle loi (de mars 2013)sur la création des entreprises avant de conseiller au public d’en tirer tous les bénéfices et autres exonérations.
Sur un autre plan, le leader du Sdf n’est pas passé par quatre chemins pour accuser les responsables de certaines formations sanitaires de la ville de Bamenda d’établir de faux résultats sérologiques contre quelques billets de banques. Lesquels résultats indiquent la séronégativité de certains sidéens. Ceux-ci, poursuit John Fru Ndi, brandissent ces résultats à tout bout de champ, pourtant ils sont infectés. Cet état de chose, à en croire le leader du parti de la Balance, a contribué au taux élevé de la prévalence dans la cité capitale du Nord-Ouest. « Bamenda a le plus fort taux de prévalence du vih/sida au Cameroun. Je vous invite à faire preuve de prudence dans vos relations sexuelles » conseille John Fru Ndi.
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